M522 - chapitre 5 - L’ENTREPRISE ET LA GESTION DE SON IDENTITE

12-04-2009 à 16:38:50
CHAPITRE 5 : L’ENTREPRISE ET LA GESTION DE SON IDENTITE


I. La culture d’E

Toutes E a son histoire, son système de référence, ses habitudes, sa manière de traiter les problèmes et de traiter son environnement.

A. Qu’est ce que la culture d’E ?
1. Identité et culture
Identité : c’est l’ensemble des éléments qui permettent de distinguer l’E aussi bien à l’extérieur qu’à l’intérieur (ex : nom, logo, organigramme, mode de commandement…). Elle est donc constituée par tous les éléments qui fondent la cohésion de l’E, sa spécificité et stabilité dans le temps.

La culture c’est l’ensemble des valeurs, des modes de pensées et croyances partagés par les membres de l’E. La culture est le résultat d’événement, réussites, échecs et de personnes qui ont masqués la vie de l’E (ex : le fondateur).

2. Les signes de la culture
Les valeurs : ce sont des noms idéals, si l’employeur est dynamique, les salariés seront aussi dynamiques. Il y a aussi des tabous, ce que l’on appelle des interdits de groupe.

Les symboles : ils expriment les valeurs de l’E, ils se décomposent en différents éléments (ex : rites…), les codes de comportements (ex : le code vestimentaire), on se tutoie. Ce sont les modes d’aménagement des bureaux.

Les mythes et les héros : un mythe c’est une légende que l’on rencontre dans l’E.

B. Le rôle de la culture dans la gestion de l’E

1. Facteur de performance

Pour certains auteurs, une culture forte génère obligatoirement à la performance. En général, la culture permet de dynamiser l’E. Il y a des actes stratégiques qui sont nécessaire au développement de l’E, en associant à des projets de l’E.

2. Facteur de cohésion et de rigidité
Facteur de cohésion intérieur E : la culture unie le personnel de l’E autour de son passé, de son langage mais surtout autour de son habitude.

Facteur de résistance aux changements : la culture entraîne une certaine rigidité, cela rend difficile les adaptations.

II. Le projet d’E

A. Définition
C’est une chartre qui résume les valeurs, la philosophie, les objectifs généraux de l’E.

B. Objectifs du projet d’E
Il y a 2 grands objectifs :
- véhiculer l’image que l’E veut donner d’elle-même à ses membres.
- Mobiliser les énergies en faisant participer les membres de l’E à la réalisation du consensus.

C. Elaboration et application du projet d’E
- Le projet est destiné aux salariés de l’E.
- Il est élaboré en impliquant le personnel.
- Les salariés doivent s’exprimer sur les projets d’E.
- Pour qu’il soit appliqué, le projet doit être communiqué aux salariés avant. L’E, pour
- communiquer doit mettre en place différentes actions de communication et elle doit utiliser au maximum l’encadrement de l’E.

III. L’E, la société et l’éthique

A. L’E citoyenne

1. Rôles et responsabilités de l’E
L’E a un rôle économique, elle augmente la richesse. Elle a des responsabilités dans la réalisation de grands objectifs nationaux (ex : créer des emplois). L’E produit des B et S.

2. La notion d’E citoyenne
L’E prend en compte différentes responsabilités, c’est la responsabilité sociale, sa responsabilité morale, écologique, culturelle…

3. La responsabilité sociale de l’E
Cette resp sociale peut se définir comme étant l’ensemble des conséquences humaines, et sociales de son fonctionnement et de son activité. Il y a une volonté de gérer les activités de l’E de façon à améliorer la qualité de vie de ses salariés et de la collectivité toute entière tant au plan local, national et international. Ce rôle s’exprime dans plusieurs directions :
- rôle de formation des jeunes par l’alternance
- elle a une mission d’insertion
- l’E permet la formation continue diplomate (VAE)

4. La resp culturelle et humanitaire de l’E
On distingue 2 grandes formes :
- le parrainage (sponsoring) : c’est le soutien matériel apporté à une manifestation, ou bien à une personne, à un produit ou à une organisation en vue d’en retirer des bénéfices directs.
- Le mécénat : c’est un soutien matériel apporté à une personne mais sans contrepartie directe. On distingue souvent le mécénat culturel du mécénat humanitaire avec le financement de programmes de développement.

5. La resp écologique de l’E
Il y a eu plusieurs événements, plusieurs catastrophes qui ont influencés le comportement des citoyens qui sont aussi des consommateurs qui sont de plus en plus exigeants vis-à-vis des E. Cela concerne différents aspects :
- dans la sécurité alimentaire (ex : vache folle ; OGM)
- recyclage des matières utilisées
- sécurité des installations techniques industrielles
- pollution des transports.
C’est une contrainte car cela entraine des couts supplémentaires.

B. L’E et l’éthique

C’est l’ensemble des principes qui s’imposent à l’intention des individus. Dabs les années 80’s, il y a eu des comportements dans l’E considérés comme immoraux.
Aujourd’hui, on est revenu à des valeurs plus traditionnelles comme la réhabilitation du facteur travail d’où l’augmentation des heures supp.

Il y a eu une amélioration dans l’E, moins de coût, moins de procès pour les contrats.

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